En Bourgogne, le domaine de Jean-Marc Roulot a initié cette démarche avec la LPO, dans le but de conserver les éléments du paysage et les pratiques favorables à la biodiversité, et améliorer les points qui peuvent l’être. “En Côte d’Or, avec le prix du foncier qui augmente, tout le monde cherche à gagner quelques mètres carrés pour planter. Un peu partout, les tournières, les arbres isolés, les murs sont peu à peu grignotés. Le résultat, on le voit bien. Le paysage viticole évolue et pas dans le bon sens : il devient une mer de vignes, une monoculture” explique Jean-Marc Roulot. Identifier parmi les pratiques existantes, celles qui sont favorables à la biodiversité et expliquer pourquoi…. Suite de l’article paru dans Viti 447 de novembre-décembre 2019